L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Anthologie de l'amour sublime - Benjamin Péret - 1988 (Essai)
Sélectionnée par : Médiathèque Diderot - Rezé
l'imagination hésitante a cédé le pas
À ta réalité qui me hante, me remplie de joieÉmilie - Saintes
Je m abandonne et me languie de tes doigts surElsa - Sète, France
l'ébène et l'ivoire du piano. Folle à lier, ouNantes - Véronique
simplement éprise d'horizon sans atermoiementsGabriel - Pignan, France
Son regard revient sans cesse au firmament.Théo - Bouguenais, France
l'imagination hésitante a cédé le pas
A l’amour, un amour naissant jeune incontrôlable abVictoria - Le Pellerin, France
mention très bien pour les 3 prochaines annéesFrancis - Nantes, France
Carrés, tes pots et ton culot pour avoirCaroline - Montrouge, France
osé tordre le cours de la géométrie initiale Laurent - Paris, France
prenons la vie en chantant, sans nul souciColette - Carquefou, France
l'imagination hésitante a cédé le pas
à ces nombreuses rêveries obscènes. Est-ce si Léo - Villeurbanne, France
pervers dessin devint réalité, j'ai passé une Anatole - France
nuit dépassant toute réalité Florence - Marseille, France
Alors, mes jours sont comme des bonbons Larissa Souza - São Paulo, SP, Brasil
Doux, sucrés, au léger goût de violettes.Véronique - Clichy, France
l'imagination hésitante a cédé le pas
à Power Point et au triste Excel denise - carquefou
qui m'ont fait suer jusqu'à la retraite et+ Claudie - Marseille, France
car l'informatique me gonfle, j'étouffe, Ô ouiClaudie - Marseille, France
serre-moi dans tes beaux bras pantagruéliquesClaudie - Marseille, France
Mange moi, devore moi jusqu a plusAnne - Racou