L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Du trop de réalité - Annie Le Brun - 2004 (Essai)
Sélectionnée par : Médiathèque Diderot - Rezé
moins lointain que le ciel dans les flaques
le parfum des nuages qui fondent sur la languecatherine - Genève, Suisse
me donne les ailes d'une libellule au soleilMH - Mars
... Irisations subtiles, cascade de rires.Guy - Marseille, France
du vent dans mes mollets, je vismarie - Besande, Espagne
Une montgolfière caresser la cime des arbresMarie - Lyon
moins lointain que le ciel dans les flaques
L'océan se réinvente, l'estran est son miroir.Elyane - Nantes Gare sncf, Nantes, France
des mille et une nuits et des écaillesd'argentClaudie - Saint-Aignan-Grandlieu, France
Rutilantes et futiles cavalcades d' hippocampeEve - Nantes
le seul et l'unique restant iciRobin - Nantes, France
A jamais oublié...Christophe - Segré, France
moins lointain que le ciel dans les flaques
plus proche que l'enfer dans les cieuxFrancis - Nantes, France
loin de la mer et des abîmes de ses noeudsSofiane - Carthage, Tunisia
Elle rêve à de nouveaux horizons. Sandrine - Orvault, France
Derrière les barreaux de sa prison.Yann - Caen, France
le ciel, l'eau et la terre se déchirentFrancis - Nantes, France
moins lointain que le ciel dans les flaques
plus proche que la lune sur le lacMyriam - Carquefou, France
mais loin de toute nourriture Laurence - Aubagne
il perd enfin quelques dizaines de kilosMH - Mars
Fini les fastes dîners, plaisirs sucrés et Audrey - Nantes
le champagne hors de prix, Enfin, la vraie vieFredilili - Perpignan, France