L’ENSEMBLE DES CADAVRES EXQUIS MÉTROPOLITAINS
Phrase de départ issue de : Manifestes du surréalisme - André Breton - 1985 (Essai)
Sélectionnée par : Médiathèque Jacques Demy - Nantes
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
et plié en quatre de rire en écoutant la radioMaurice - Carquefou, France
J'aime ton sourire alors que je pleure d'amourRegina - Salvador, BA, Brasil
doux comme un rayon de miel sur les papillesJeanne-Anita - Joué-sur-Erdre, France
Moi je n'aime que les harengs gras et souillésYoussef - Nantes, France
Ils me rappellent ma grand-mère islandaiseJocelyne - Rezé
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
Qui gamberge et se répand dans les bouchonsFabien - Lausanne
s’ouvre à la lumière,en rubans arc-en-ciel ...Stéphanie - Bouaye, Bouaye, France
Ouvre la porte et la fenêtre pour le soleilRafaela - São Paulo, SP, Brasil
et laisse tout ton être être irradié Denise - Carquefou, France
de cette fichue giboulée pas commode.Robin - Nantes, France
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
Il semble hésiter, sauter ou pas ?Jean-Michel - Bouguenais, France
Puis, tel un enfant, se lança à pieds jointsSandra - Bouguenais, France
et vibra sur son corps désormais virevoltant, Aurore - Nantes, France
vacciné cependant. Une orbe vaporeuse apparut.Julien - Toulouse, France
Une bulle chaude, plume ronde, la fleur éclôt.Léo - Nantes, France
Il y a un homme coupé en deux par la fenêtre
et oui, ça peut blesser le double vitrage, et Brigitte - Lyon, France
même tuer, des aigles et des moineaux,Elisa - Carquefou
des pies, des poules, des corbeauxMarie Hanoteau - Marseille, France
Tous ces oiseaux qui s'envolent éternellement Katniss - Marseille
vers des bateaux naviguants au largeeve - aix en provence